Avons-nous tué des gens à cause du port du masque ? C’est la théorie d’un médecin allemand avec l’effet « Foegen » ou l’auto-intoxication d’une forte concentration de matériel viral. Que faut-il en penser ?
Les masques au cœur de la tempête
Qui aurait pu croire que ce petit bout de tissu puisse faire autant couler d’encre ? Personne.
Les masques (chirurgicaux dans cet article pour plus de clarté) n’ont cessé depuis le début de la crise mondiale de Covid-19 d’être au centre de nombreuses controverses et polémiques.
On se souvient tous du mensonge originel du gouvernement sur les stocks stratégiques des masques dévoyés au fil des années pour faire des économies.
Alors que les professionnels de santé à l’unisson avec le grand public déploraient le manque de masques, ces derniers sont devenus au mieux inutiles et au pire nocifs une fois disponibles.
Les masques ont subi toutes les attaques.
De la plus élémentaire sur le manque d’efficacité pour limiter les infections et les formes graves (avec notamment la fameuse étude danoise négative), en passant par les retards d’apprentissage et de développement des enfants jusqu’au risque de décès à cause d’un manque chronique d’oxygène et un excès de CO2.
Mais une nouvelle hypothèse et charge contre les masques existe depuis fin janvier 2022, qui n’a eu pratiquement aucun écho dans la presse nationale et internationale. Mainstream et médicale.
France Soir (1) est l’un des rares sites internet à s’en faire rapidement l’écho. Mais le site a été épinglé à deux reprises sur Dur à Avaler pour la médiocrité des analyses et les recherches capillotractées plutôt grossières sur la désormais célèbre « fricosphère ».
C’est l’intrigant « effet Foegen » nommé par l’inventeur de cet effet, Zacharias Fögen, un médecin allemand travaillant à Kassel (2).
Que peut-on en dire en détail ? Que vaut ce travail scientifique ?
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