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Rebondissement dans l’affaire de l’ivermectine. Nous aurions des preuves d’un trafic d’influence et d’une corruption entre l’OMS, Unitaid et l’université de Liverpool pour discréditer l’antiparasitaire.

© Christine Sandu| Unsplash

Corruption au sommet ?

Souvenez-vous, je vous parlais en mars 2021 d’une grave accusation de trafic d’influence et de corruption entre l’OMS, Unitaid et Andrew Hill responsable d’une méta-analyse avec des conclusions défavorables sur l’ivermectine.

La publication de cette étude a été vécue comme un choc par les partisans de l’ivermectine.

Un affront pour d’autres.

Car si Andrew Hill se montrait au départ très optimiste sur l’antiparasitaire, il a finalement changé son fusil d’épaule.

Il n’y avait aucune autre explication qu’un large trafic d’influence et une corruption des plus grandes institutions sanitaires au monde.

Les nombreuses études favorables rétractées ? Non.

Les grands essais cliniques négatifs ? Non plus.

C’est la scientifique Theresa Lawrie, directrice d’un cabinet d’analyses indépendant, qui est à l’origine de cette bombe médiatique.

Une bombe… lâchée depuis longtemps.

Cela fait presque un an que Theresa Lawrie affirme que le sponsor de la méta-analyse, Unitaid, a fait pression sur Andrew Hill et aurait modifié les conclusions.

Andrew Hill l’aurait dit dans un enregistrement Zoom fait avec Theresa Lawrie.

Le chaînon manquant

Sauf que cet enregistrement, personne n’a jamais pu le télécharger, l’écouter et l’authentifier.

Cela fait presque un an que je demande de pouvoir l’écouter.

Et prendre enfin la mesure de ce scandale international.

Car de nouveaux éléments entrent dans la danse.

Andrew Hill alors embauché par l’université de Liverpool au Royaume-Uni pour faire ce travail aurait reçu pas moins de 40 millions de dollars en compensation pour discréditer l’ivermectine.

La preuve de ce pot-de-vin pharaonique ?

Unitaid.

L’association non gouvernementale principalement financée par les états européens (dont la France et le Royaume-Uni) a donné à l’université de Liverpool 40 millions de dollars… Une semaine avant la publication négative du Dr Andrew Hill !

Avouez que la coïncidence est troublante !

Des millions de dollars…

Pour les défenseurs de l’ivermectine, ce don qui rentre dans un programme de recherche bien défini (Longevity), ne peut être qu’un pot-de-vin déguisé.

L’accusation est gravissime.

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3 commentaires
  1. Merci pour ces précisions ! Cette “révélation” de corruption pour un montant de 40 millions de dollars était vraiment énorme… sans autre “preuve” que la déclaration d’une “lanceuse d’alerte” qui tirait parti de la situation. Bien entendu, les “militants” se précipitent pour partager ces accusations…

    Même dans mon village nous ne sommes pas à l’abri des contaminations. Je doute que nous échappions à la vilaine “grippette” Omicron. Les vaccinés savent bien qu’ils ne sont ni protégés ni protecteurs.

    Parmi nos voisins et amis contaminés (probablement par le Delta) on voit une différence nette entre ceux qui n’ont rien fait (dodo – doliprane) et se retrouvent en ventilation, et les autres qui dès le premier symptome ont pris un “traitement précoce” (zinc, vitamine C) puis de l’azythromicine, ou qui sont simplement allés se faire soigner à l’IHU de Marseille. Ces derniers ne sont malades que de 3 à 15 jours quel que soit leur âge.

    Je profite justement de cet article pour dire que j’ai commandé de l’ivermectine ! ? Car l’absence de preuve sur des études cliniques mal menées ou falsifiées n’est pas la preuve de l’inefficacité, dans un environnement de soin où l’on fait attention à de multiples variables (dont on ne connaît pas forcément l’incidence).

  2. Témoignage non intéressé : j’ai 66 ans, non vacciné, je vis au Brésil, et je prends l’ivermectine en prévention depuis mars 2020 (2x6mg toutes les 2 semaines = 0,20 euro ici, en vente libre). Je serre 10 à 20 mains par jour, j’embrasse. J’utilise quasi pas le masque, encore moins l’alcool. Il y a un mois, j’ai conduit une personne contaminée (2x vaccinée) à l’hôpital (sans masque bien sûr). Avec l’ivermectine, j’accepterais le défi d’embrasser 10 personnes contaminées à l’hôpital. Vous relevez le défi ?

    1. Cher Jean-Marc,

      Vous devriez penser à participer aux essais cliniques en cours sur l’ivermectine au Brésil. Vous serez payé pour cela et vous participerez donc à apporter des réponses objectives et sérieuses sur cette importante question ! :)

      Par ailleurs, avec l’apparition et la généralisation du variant Omicron qui apparaît moins dangereux pour la vie humaine, le défi semble perdre de sa valeur.

      Prenez plutôt soin de vous, et s’il vous plait, respectez les gestes barrières car vous avez peut-être contaminé des gens avec votre manière de faire. Des gens peut-être fragile sans protection qui pourraient avoir perdu la vie.

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