Les vaccins anti-covid exposent à des inflammations du cœur. Nous avons aujourd’hui des retours très importants sur ces myocardites pour affiner le lien entre vaccin, dose, infection et ces événements déroutants.
Les myocardites à l’ère du covid
Les myocardites n’enflamment pas que les coeurs, mais aussi les débats scientifiques et médicaux.
Depuis la commercialisation des vaccins dans le monde, et l’injection de centaines de millions de doses, un signal inquiétant est apparu.
Des hospitalisations en recrudescence pour des myocardites.
Tout ce qui finit en « -ite » pourrait s’apparenter à une banale inflammation, mais quand on parle du cœur, c’est tout de suite moins banal.
Les myocardites n’ont rien de nouveau. Elles sont bien connues du monde médical et n’entraînent pas dans la vaste majorité des cas le pronostic vital du malade.
Elles n’en demeurent pas moins sérieuses.
Les myocardites inviteront le malade à remettre son activité sportive pour plus tard. On peut avoir entre 3 à 6 mois d’arrêt médical, avec des consultations pour vérifier l’état du cœur.
Ce n’est pas comme une banale otite ou un orgelet.
L’oppression ressentie au cœur peut entraîner une détresse psychologique importante.
Le problème est donc bien là.
Les vaccins anti-covid semblent être associés aux recrudescences de myocardites dans le monde.
Les premiers signaux sont arrivés d’Israël, puis du monde entier.
Nous avons aujourd’hui des retours de pharmacovigilances vertigineux. Autrement dit, on peut parler avec un peu plus de recul, notamment en fonction des vaccins et du nombre de doses.
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1 commentaire
Cette analyse aurait pu contribuer à l’évaluation (à titre personnel) d’un rapport bénéfice/risque. Mais cela n’a aucun sens si l’on compare des populations différentes. Il faudrait au minimum stratifier les observations par tranches d’âges assez étroites, pour lesquelles les risques de myocardites suite à l’infection n’ont pas été quantifiées (dans ces études), et tenir compte de l’incidence selon le statut vaccinal – sujet particulièrement controversé et “manipulé” aujourd’hui.