La vaccination contre le covid-19 n’aurait finalement pas ou peu de lien avec les dérèglements menstruels qu’on signalé des milliers de femmes à travers le monde. L’étude signée d’un institut prestigieux suédois laisse la place au doute, avec des auteurs aux nombreux liens d’intérêts avec Pfizer et AstraZeneca.
Le sujet des dérèglements menstruels avec la vaccination anti-covid n’est clairement pas fini, avec un énième épilogue scientifique et la publication d’une étude qui range ce lien comme peu probable, hypothétique et même incohérent.
Cette étude n’est pas une petite tambouille de comptoir. Les chercheurs suédois à l’origine de ce travail ont regardé chez près de 3 millions de citoyennes si cette vaccination a entraîné une augmentation des consultations médicales pour saignement menstruel et perturbation du cycle.
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7 commentaires
Bonjour Jeremy,
De nombreux liens d’intérêts avec Pfizer et AstraZeneca ? Plus précisément lesquels et où apparaissent-ils ?
Bonjour Marie,
Dans la suite de l’article. Bien à vous.
Bonjour Jérémy
Gynécologue suspendue pour non-vaccination, j’ai pu constater avant ma suspension un nombre impressionnant de métrorragies post-vaccinales chez mes patientes. Je ne parle pas des douleurs parfois extrêmement invalidantes et des hémorragies de plusieurs semaines réapparaissant après chaque nouvelle injection. Une femme ménopausée depuis plus de 10 ans qui se met à avoir à nouveau des règles ne peut que m’interpeler sur l’imprégnation hormonale qu’on ne pourrait même pas reproduire avec un THM tant l’atrophie endométriale est avancée à cet âge! Et dans quelques années, quelles conséquences??? Alors les “études” c’est une chose, la pratique, c’est du réel…
Bonjour Laurence,
Merci d’avoir pris la peine de vous abonner et de commenter avec ce retour important. Il est impossible de rester impassible face à ces observations et c’est la raison pour laquelle il faut traiter ce sujet avec sérieux et sans mépris car il peut avoir des conséquences psychologiques importantes. Pour les conséquences physiques, les “études” sont aussi des observations du “réel” dans le sens où on regarde ce que vous avez observé, mais à plus grande échelle, en essayant d’avoir des cadres méthodologiques plus ou moins rigoureux.
Nous verrons pour les conséquences à long terme dont il faudra démêler l’impact des infections et ce ne sera pas une mince affaire ! Les observations qui peuvent être inquiétantes, aussi bien pour vous les professionnelles que les femmes touchées par ces manifestements, apparaissent tout de même transitoires et rassurantes avec une évolution très favorables. Qu’en pensez-vous ?
Au plaisir de vous lire.
Je rajouterai, mais ceci est hors sujet dans cet article, que ma mère est décédée en 2022 d’un glioblastome foudroyant fatal en 3 mois, et ce, 4 mois après son injection. Là aussi, c’est du réel…
J’ai écrit un article sur les “turbo-cancers” en lien avec la vaccination.
Je suis bien désolé pour votre mère, mais il est difficile de dire quoi que ce soit à ce niveau-là. j’imagine qu’elle avait un certain âge (où les cancers apparaissent plus volontiers) et les cancers foudroyants ont toujours existé. Il faut maintenant analyser la fréquence et comparer avec ou sans vaccination. Il n’y a aujourd’hui pas de signaux très inquiétant à ce sujet.
Bonjour Jérémy
Vous n’évoquez pas dans votre étude la hausse des fausses couches après vaccination. On sait le nombre de naissances nettement en baisse récemment, et si c’est un phénomène à causes multiples (stress, dépression due à la situation sanitaire, etc…), il faudrait évaluer aussi la contribution des avortements spontanés à la chose…