Des milliers de décès en France ne trouvent aucune explication pour l’année 2022. Chez les jeunes, on retrouve 500 à 600 décès sans cause convaincante. La vaccination anti-covid est-elle la grande responsable ?
2022, la surmortalité persiste
On ne pourra pas lui reprocher d’être transparent avec les citoyens, au risque de soulever des questions embarrassantes sans réponses satisfaisantes.
Car l’institut national des statistiques en France (Insee) vient de publier son dernier rapport explosif sur la mortalité française de ces 3 dernières années. On compterait près de 54 000 décès en 2022 en plus de ce qui était attendu.
Vous avez tous vu passer ces graphiques désormais.
Cette surmortalité est encore plus importante que celle des deux années précédentes où nous avions pourtant eu de sévères et meurtrières vagues de Covid-19.
Quelque part, on s’attendait un peu tous naïvement à observer enfin une baisse de cette surmortalité. Un retour à la normale en somme.
Il n’en est rien.
L’Insee ne s’arrête pas à la seule présentation des chiffres, et notamment par tranche d’âge qui génère le plus d’interrogation, mais il propose aussi des explications.
Des explications un peu difficiles à avaler pour une frange de la population qui doute du récit officiel, contrôlé et maîtrisé.
Car cette surmortalité aurait des causes bien réelles :
- Les épidémies de grippe. Deux phénomènes en 2022, en mars-avril puis novembre-décembre
- Au moins trois épisodes de canicule pendant l’été
- Les effets indirects du covid-19 comme des reports d’opérations chirurgicales ou des dépistages
Si elles sont bien évidemment plausibles, elles se fracassent contre des a priori manifestement logiques.
Car les moins de 55 ans accusent eux aussi d’une surmortalité inquiétante. Et ce n’est pas la population la plus fragile aux épidémies de grippe, ni aux épisodes de canicule.
Qui sont les responsables ?
La vaccination anti-covid serait l’éléphant au milieu de la pièce que personne n’ose dénoncer. Mais qu’en est-il vraiment ? Peut-on l’envisager aujourd’hui ? Faudra-t-il attendre des analyses plus fines ?
Voici les premiers éléments de réponses.
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